L’entreprise individuelle à responsabilité limitée sera assortie de dispositif de caution. Le nouveau statut d’entreprise individuelle à responsabilité limitée dont Hervé Novelli a présenté le projet de loi hier (27 janvier) en Conseil des ministres rendra, en cas de faillite, insaisissable le patrimoine individuel des commerçants et artisans en nom propre. Le fait que rien n’empêche les banques de demander aux entrepreneurs une caution personnelle comme condition à un crédit pouvait faire de l’ombre à cette bonne nouvelle mais Hervé Novelli (secrétaire d’Etat au Commerce et à l’Artisanat) a déclaré qu’un « dispositif permettra à Oseo ou la Siagi (la société de caution de l’artisanat) de venir garantir le soutien financier remplaçant la caution personnelle de l’entrepreneur individuel », a promis Hervé Novelli.(Source : AFP)

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Malgré certaines failles du dispositif, Bercy veut continuer de développer les mesures du bouclier fiscal. Les chiffres ne plaident pourtant pas en leur faveur. A l’heure ou les foyers les plus démunis sont ceux qui souffrent le plus de la crise, l’idée de taxer encore plus les hauts revenus peut paraître judicieuse.

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Ce prêt à taux zéro, accordé aux ménages modestes qui souhaitent accéder à la propriété, est maintenu dans sa version actuelle jusqu’à la fin de l’année. Avant une probable réforme qui devrait réduire son champ d’application à partir de 2024. Maintes fois retouché depuis sa création en 1995, le prêt à taux zéro (PTZ), produit bancaire subventionné par l’Etat afin de faciliter la construction d’une maison ou l’achat d’un logement ancien, devrait subir de nouveaux réajustements dès l’an prochain. D’ici là, le dispositif reste accessible dans un format qui le rend applicable au secteur de l’habitat collectif comme individuel (ce qui ne sera peut-être plus le cas en 2024, le gouvernement souhaitant davantage cibler les immeubles). Pour l’heure, il permet de financer, sans charges d’intérêts, une partie des projets d’acquisition immobilier sur l’ensemble du territoire français: tout le monde n’y a pas accès. Et ceux qui sont éligibles à l’outil n’en bénéficient pas forcément dans les mêmes proportions, même à revenus égaux. Un constructeur de maison saura sans doute vous détailler les modalités du PTZ en fonction du produit que vous lui avez commandé, et de la région ou la commune dans lesquelles le chantier sera mené. A qui est accordé le PTZ ?  Pour pouvoir prétendre au prêt à taux zéro, plusieurs conditions sont à remplir : Le logement neuf ou à construire doit d’abord faire office d’habitation principale : pour être considérée comme telle, le demandeur est impérativement en mesure de prouver qu’il y logue au moins huit mois par an. En deçà de cette durée minimale, le bien est classé en tant que résidence secondaire, une catégorie immobilière que le dispositif ne finance pas. Le PTZ est également accordée sous conditions de ressources : les plafonds à ne pas dépasser ne sont pas uniformes. Leurs montants dépendent à la fois du territoire géographique dans laquelle la maison sera être construite, mais aussi du nombre de personnes qui habiteront le futur logement. Cinq zones ont été définies par les pouvoirs publics en fonction de la densité de leur population, facteur qui influe sur la situation du marché immobilier local, et son niveau de « tension » qui traduit un déséquilibre plus ou moins important entre la part d’offres disponibles et le volume de demandes recensées. Où est accordé le PTZ ? Les zones A et A bis correspondent aux plus gros bassins urbains, souvent des très grandes villes, comme Paris ou Lyon, ou d’importants espaces touristiques (Côte d’Azur). Dans ces ensembles, le PTZ peut financer jusqu’à 40% du projet immobilier. Le plafond de revenu à respecter grimpe à 37 000 euros annuels pour une personne seule. Les zones B1 intègrent également des territoires urbains, moins étendus toutefois que les précédents (moins de 250 000 habitants) où le tension immobilière est, de fait, un peu moins forte. Enfin les zones B2 et C recoupent les petites villes de moins de 50 000 habitants et les zones rurales : dans ces régions moins denses, le PTZ couvre une frange deux fois plus réduite de l’opération. Un candidat au PTZ

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Le but de toute entreprise est de générer du chiffre d’affaires, et ce, qu’elle commercialise des biens ou des services. Pour ce faire, il lui faut attirer toujours plus de prospects, dans le but d’en faire des clients. À l’heure où notre environnement tout entier a tendance à de plus en plus se digitaliser, il faut envisager l’internet et les nombreuses possibilités qu’il peut offrir comme une formidable opportunité, un terrain de chasse illimité pour se permettre une métaphore conquérante. Nous ne sommes en effet plus à l’âge du porte-à-porte, ni des courriers papiers, aussi convient-il de s’ouvrir sur toutes les possibilités qui s’offrent à nous du fait justement de cette digitalisation que nous venons d’évoquer. Diversifier les canaux de prospection Force est de constater que la prospection multicanal est sinon LA clé, du moins une de celles qui permettent d’élargir de façon conséquente l’éventail des possibles. Rien n’empêche de continuer à utiliser certaines méthodes plus traditionnelles, mais il est indispensable de profiter de l’engouement pour les réseaux sociaux, essentiellement d’un réseau professionnel comme l’est LinkedIn, pour espérer pouvoir étoffer son fichier clients. C’est tout l’intérêt du principe de prospection multicanal. En effet, LinkedIn compte aujourd’hui plus de 850 millions de membres. Ceux-ci sont répartis dans le monde entier, quand bien même certains pays sont très représentés, les États-Unis en tête bien sûr avec près de 190 millions de membres. Suivent l’Inde et la Chine, avec respectivement 88 et 56 millions de personnes inscrites. La France n’est pas en reste avec 24 millions d’inscrits. C’est dire si ce réseau social peut représenter une manne pour toute entreprise. Cibler pour mieux toucher Un des avantages de LinkedIn est son moteur de recherche. Il permet en effet de cibler les personnes auxquelles on souhaite accéder. Si notre entreprise existe depuis un moment, on a parfaitement connaissance de la nature de sa clientèle. Si l’on en est qu’à se lancer, on peut mettre en application la méthode des buyer personas qui consiste à créer un individu fictif qui personnalisera votre client-cible. Il vous revient de lui donner des caractéristiques précises : identité, études, parcours professionnel, situation actuelle, aussi bien sur un plan personnel que pro, habitudes de vie, goûts et passions, etc, vous avez saisi l’idée. Vous serez ainsi mieux à même d’étudier ses attentes, ses réactions quant aux produits ou services que vous commercialisez. En plus d’être un formidable outil marketing, le persona va aussi vous permettre de cibler vos prospects sur LinkedIn au moment où vous y lancerez des recherches, c’est ce que nous évoquions plus haut. Il vous permettra d’entrer en contact directement avec des clients potentiels. Soigner sa communication S’il existe de nombreux outils pour vous aider dans cette phase de prise de contact, nous vous recommandons de peaufiner votre message. Il doit en effet être plutôt court, percutant et parlant. Il doit dès le départ accrocher son lecteur et faire naître la curiosité. Terminez-le par une phrase contenant un lien cliquable, un mail, un téléphone, tout moyen qui peut inciter

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