Depuis sa création il y a moins d’un an, les missions du Fonds stratégique d’investissement ont évolué. Ses dernières opérations : investissement dans une entreprise de contenus numériques (Dailymotion) et création d’un fonds pour les biotechnologies, marquent cependant toujours la volonté de participer au développement d’entreprises à fort potentiel de croissance.

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Reconnaître les investissements socialement responsables. Le centre de recherche sur l’investissement socialement responsable de la Caisse des dépôts labellise désormais les organismes de placement collectifs en valeurs mobilières (OPCVM) pour aider les épargnants à mieux choisir comment placer leur argent. 92 des 120 fonds qui avaient postulés ont obtenu le “Label ISR”, pour investissement socialement responsable  

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Fonds de LBO, vers une reprise des investissements. Une étude d’Incisive Media et Candover révèle que les investissements des fonds de LBO (leveraged buyout) ont augmenté de 38% entre le premier et le second trimestre (de 3,5 à 4,8 milliards d’euros). Il faut toutefois rester prudent, car en comparaison avec le premier semestre 2008, les investissements de 2009 restent 85% inférieurs en valeur et Incisive Media note que 2009 n’a été l’occasion que de petites opérations (aucune supérieure au milliard et plus de 80% inférieur à 100 millions d’euros). (La Tribune).  

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L’autofinancement, également connu sous le terme de financement interne, se réfère à l’utilisation des ressources financières générées par l’entreprise elle-même, que ce soit par le biais de ses bénéfices non distribués, de ses amortissements ou de ses provisions. Bien que l’autofinancement présente des avantages significatifs, il comporte aussi certains inconvénients. Voici une analyse détaillée de ses avantages et inconvénients. Avantages de l’autofinancement Indépendance financière : En utilisant ses propres fonds, l’entreprise n’est pas redevable à des tiers (comme des banques ou des investisseurs), lui conférant une plus grande autonomie dans ses décisions. Pas de coûts d’intérêt : Contrairement aux emprunts, l’autofinancement ne génère pas de charges d’intérêt, ce qui améliore la rentabilité. Flexibilité : L’entreprise peut utiliser les fonds comme elle le souhaite, sans conditions ni restrictions imposées par des investisseurs ou des prêteurs. Renforcement de la structure financière : L’utilisation de fonds propres pour financer des projets renforce le bilan de l’entreprise et peut la rendre plus attractive aux yeux des prêteurs pour de futurs financements. Confiance des investisseurs : L’autofinancement peut être interprété comme un signe de bonne santé financière, renforçant ainsi la confiance des investisseurs potentiels. Inconvénients de l’autofinancement Limitation des ressources : Les ressources internes peuvent être limitées, ce qui peut freiner la croissance ou l’expansion de l’entreprise. Opportunités manquées : En se reposant uniquement sur l’autofinancement, une entreprise peut manquer des opportunités d’investissement rentables qui nécessiteraient des financements externes plus conséquents. Risque accru pour l’entrepreneur : Si l’entreprise échoue, l’entrepreneur risque de perdre ses investissements personnels. Absence de levier financier : L’endettement permet de bénéficier de l’effet de levier, où les rendements sur les fonds propres peuvent être amplifiés grâce à l’emprunt. En évitant l’endettement, l’entreprise se prive de cet avantage potentiel. Pression sur la trésorerie : L’utilisation des bénéfices non distribués pour financer les activités peut mettre une pression sur la trésorerie de l’entreprise, la laissant vulnérable en cas d’imprévus. Conclusion : Si l’autofinancement présente des avantages indéniables en termes d’indépendance et de coût, il comporte également des inconvénients liés à la limitation des ressources et aux risques accrus. La décision d’utiliser l’autofinancement devrait être basée sur une analyse approfondie de la situation financière de l’entreprise, de ses besoins en capitaux et de sa stratégie à long terme. Comme toujours, un équilibre entre sources internes et externes de financement est souvent la meilleure approche.

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La recherche de financement est l’une des étapes cruciales lors de la création ou du développement d’une entreprise. Heureusement, diverses options s’offrent aux entrepreneurs en matière de financement. Voici un tour d’horizon des principales sources de financement et des interlocuteurs à considérer. Les banques traditionnelles : Prêts professionnels : Les banques proposent des prêts destinés aux entreprises, avec des taux et des conditions variables. Découverts : Certaines banques peuvent accorder des découverts pour aider à gérer la trésorerie à court terme. Les investisseurs en capital : Business angels : Il s’agit d’individus qui investissent directement dans des start-ups ou des petites entreprises en échange de participation. Sociétés de capital-risque : Elles investissent généralement des montants plus importants que les business angels, souvent dans des entreprises en phase de croissance rapide. Plateformes de financement participatif (crowdfunding) : Les entrepreneurs peuvent présenter leurs projets sur des plateformes en ligne pour obtenir des financements de la part d’investisseurs individuels, soit sous forme de dons, de prêts ou d’investissements en capital. Les subventions et aides publiques : De nombreuses institutions gouvernementales proposent des subventions, des prêts à taux réduit ou d’autres formes d’assistance financière pour soutenir les entreprises dans certaines régions ou secteurs d’activité. Le financement par la dette via les sociétés de crédit-bail : Ces sociétés permettent aux entreprises d’acquérir des équipements en payant des loyers périodiques plutôt qu’en achetant l’équipement en totalité. Les incubateurs et accélérateurs : Ce sont des programmes qui offrent du financement, des mentorats, des espaces de travail et d’autres ressources en échange, parfois, d’une participation dans l’entreprise. Partenariats et alliances stratégiques : Former des partenariats avec d’autres entreprises peut apporter un financement indirect, par exemple, via des accords de co-développement, des licences ou des joint-ventures. Vente d’actifs : Si vous disposez d’actifs non essentiels pour votre entreprise, la vente de ceux-ci peut générer des liquidités. Le financement par l’affacturage : Cela permet aux entreprises de vendre leurs factures à une tierce partie en échange d’un paiement anticipé. Auto-financement : Utiliser vos économies personnelles ou réinvestir les profits de l’entreprise peut être une solution, bien que cela présente un risque. Conclusion : Le choix de la source de financement dépendra de la nature de votre entreprise, de son stade de développement, de vos besoins en trésorerie et de votre tolérance au risque. Il est recommandé de consulter un conseiller financier ou un expert-comptable pour évaluer les différentes options et définir une stratégie de financement adaptée à votre situation.

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La majorité, qui survient lorsqu’une personne atteint l’âge de 18 ans, marque un tournant majeur dans la vie d’un individu. Cette étape importante ouvre la porte à de nouveaux droits et responsabilités, y compris en matière de finances. Dans cet article, découvrez quels sont les différents droits financiers dont vous disposez une fois que vous atteignez la majorité. Vos droits financiers dès la majorité Ouverture de comptes bancaires Lorsque vous atteignez la majorité, vous avez le droit d’ouvrir un compte bancaire à votre nom. Cela inclut à la fois les comptes courants et les comptes d’épargne. Les comptes bancaires s’ouvrent en seulement quelques clics sur particuliers.sg.fr/ouvrir-compte-bancaire-en-ligne, et vous permettent de gérer votre argent de manière plus structurée et sécurisée. Les banques offrent généralement des comptes spécialement conçus pour les jeunes adultes, avec des avantages tels que des frais réduits ou des offres promotionnelles. Emprunter de l’argent et contracter des prêts À partir de la majorité, vous avez légalement le droit de contracter des prêts et des crédits auprès des institutions financières. Cela peut inclure des prêts étudiants, des crédits à la consommation ou des crédits auto. Cependant, l’obtention d’un prêt dépend de nombreux facteurs, tels que vos revenus, votre capacité à rembourser le prêt, etc. Il est essentiel de bien comprendre les termes et conditions avant de contracter un prêt et de vous assurer que vous pourrez respecter les échéances de remboursement. Investir et épargner pour l’avenir En tant que majeur, vous pouvez commencer à investir votre argent pour préparer votre avenir financier. Cela peut inclure des investissements dans des actions, des obligations, des fonds communs de placement, des plans d’épargne-retraite ou d’autres instruments financiers. Investir à un jeune âge peut vous aider à bénéficier de l’effet de la capitalisation, ce qui signifie que les intérêts que vous gagnez sont réinvestis pour générer davantage de revenus. Souscrire à des assurances Une fois que vous atteignez la majorité, vous pouvez souscrire à diverses formes d’assurances pour protéger votre avenir financier. Cela peut inclure l’assurance vie, l’assurance maladie, l’assurance automobile, l’assurance habitation, entre autres. Chacune de ces assurances est conçue pour vous protéger contre les risques financiers liés à des événements imprévus. Il est important de choisir les bonnes assurances en fonction de vos besoins et de votre situation personnelle. Gestion des impôts En devenant majeur, vous êtes responsable de déclarer vos revenus et de payer les impôts correspondants à l’administration fiscale. La gestion de vos impôts inclut la compréhension des différentes catégories de revenus imposables, des déductions et des crédits d’impôt auxquels vous pourriez avoir droit. Il est essentiel de vous tenir informé des lois fiscales et des obligations en matière de déclaration pour éviter des pénalités ou des amendes. Retraite et prévoyance En entrant dans la vie active, vous commencez à cotiser pour votre retraite et votre prévoyance. Les systèmes de retraite et de prévoyance ont généralement pour objectif de vous fournir un revenu de remplacement lorsque vous prendrez votre retraite ou en cas d’incapacité à travailler. En tant que

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Le financement externe représente, pour de nombreuses entreprises, un flux de capitaux non négligeable. Généralement, les entreprises y ont recours lorsqu’elles manquent de capitaux propres. Donc, il peut être d’un grand secours pour les entreprises en cours de création ou pour celles qui cherchent à se développer. Cela leur permet de mener à bien leurs opérations de fonctionnement, de production et de prestations de services. Point sur les 3 sources de financement externe accessibles aux entreprises. Le capital mezzanine : une source de financement externe pour les entreprises en difficulté Il y a deux raisons fondamentales qui justifient le recours des entreprises à un financement mezzanine. La toute première concerne la perte de la confiance des banques. Aucune banque ne vous prêtera de l’argent si vous devez beaucoup d’argent à une ou plusieurs banques. C’est encore pire quand vous n’avez aucune garantie. La seconde raison vient de la volonté d’une entreprise de financer des projets d’acquisition (LBO) ou de reprise (familiale). L’idée qui sous-tend ce type de financement est d’offrir aux entreprises interdites de crédits bancaires (dette senior) un regain de liquidités. Cela est possible même sans une réelle garantie. Parfois, c’est la meilleure alternative pour ne pas se faire absorber par des nouveaux actionnaires qui pourraient prendre le contrôle de votre entreprise. Les capitaux empruntés par les entreprises L’emprunt bancaire fait partie des sources de financement externes les plus utilisées par les entreprises. Ces sources de financement sont disponibles auprès des établissements spécialisés dans le crédit bancaire. La seule condition qui rend ce type de financement difficile d’accès est celle de la garantie. Ainsi, les demandes de financement des entreprises qui ne disposent d’aucune garantie sont purement et simplement rejetées. Le crédit obtenu auprès des institutions de microfinance compte parmi les capitaux empruntés. Ce type de crédit est une manne financière (25.000 euros max) disponible pour les entreprises qui sont en cours de création ou qui sont à l’étape de développement. Pour les aider dans leurs projets, ces entreprises bénéficient d’un service d’accompagnement et de conseils. Les capitaux propres : une source de financement externe, nouvelle et innovante Les capitaux propres sont des financements externes issus de sources plutôt innovantes. L’avènement des business Angels est une nouvelle donne dans l’environnement des sources de financement des entreprises. Fondamentalement, le business Angel contribue au capital de son filleul. Dans le contrat de participation, il lui est donné une part du pouvoir de décision. Pour les entreprises en création ou en phase d’amorçage, il s’agit d’une aubaine puisque le business Angel n’apporte pas que son argent. Il apporte aussi ses connaissances et son expérience dans votre secteur d’activité qui fut également le sien. Il s’agit d’un investissement sur le long terme. Le recours au capital-risque est une autre forme de financement externe. Elle permet à une entreprise de bénéficier de la participation minoritaire et sur le court terme d’investissements. Ceux qui investissent sont appelés des investisseurs professionnels. Ce que ces investisseurs recherchent, ce sont des entreprises innovantes et à fort potentiel de

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